top of page

tristesse

animal

noir

 

Anja Hilling

(Éditions Théâtrales)

Création

du 13 sept au 2 oct 2017

Théâtre de l'Atalante

Traduction de l’allemand - Sylvia Berutti-Ronelt en collaboration avec Jean-Claude Berutti
Le texte est publié aux éditions Théâtrales, éditeur et agent de l’autrice.

 

mise en scène et scénographie - Grégory Fernandes

assistanat à la mise en scène - Claire Barrabès

dramaturgie - Raphaël Thet

lumières - Stéphane Deschamps / création vidéo - Julien Dubuc / création son - Samuel Mazzotti / costumes - Émilie Hug

avec Claire Barrabès / Clément Beauvoir / Laurent Cogez / Grégory Fernandes / Pascal Neyron / Yoann Parize /

Marie Quiquempois / Lou Wenzel

 

Production - La Fabrique M7

avec le soutien d'Arcadi Île-de-France, de la Spedidam, de la Ville de Paris et du Théâtre de l'Aquarium

Coréalisation - L'Atalante

Ils ont entre trente et quarante cinq ans, mènent une vie « confortable ». Ces trois couples de citadins se retrouvent en forêt, un soir d’été torride, où ils ont décidé de passer la soirée le temps d’un barbecue loin de la ville. La pièce s’ouvre sur cette parenthèse, ce moment privilégié à la marge du temps social qui, sous ses allures régénératrices va peu à peu révéler les travers de chacun, l’insouciance collective.
Au milieu de la nuit un incendie dévastateur éclate faisant naître un théâtre tragique.
Pris au piège de la catastrophe Jennifer, Flynn, Oskar, Martin, Paul, Miranda et Gloria vivent minute après minute l’effroi absolu. Dans la forêt incandescente se joue alors plusieurs traversées infernales.
Entre déni et culpabilité Tristesse animal noir nous questionne sur les capacités de l’homme, face à une solitude nouvelle, à envisager une éventuelle issue.


Dans cette tragédie contemporaine, Anja Hilling nous plonge au coeur d’une catastrophe. Son écriture implacable à la fois crue et poétique est bouleversante.
Un voyage sur fond d’apocalypse pour nous interroger sur les mécanismes de nos sociétés contemporaines et notre propre condition.

 

 

© Julien Dubuc

bottom of page